dimanche 6 avril 2014

Guess who's the F*** back ?

Et ouais, et ben ouais, et ben re-ouais, les gens...je suis de retour. 
Genre j'allais me faire écraser par l'enjeu en mode Paul-Henri Matthieu au premier tour d'un Grand Chelem. Sans déconner les gars, vous le savez pourtant : ce qui ne te tue pas te rend plus fort et te donne une putain d'envie d'en découdre...

Commençons ce week-end par la création d'un faux plafond pour isoler les derniers combles en lattis, et habiller la fenêtre de toit enfin posée par ce putain de couvreur. For faaaaack sake, il a fallu le relancer 10 fois pour qu'il me pose ce truc, et j'ai encore des mètres de zinc qui m'embarrassent tout le deuxième étage... Mais faaaaaaack !

Donc ossaturons un peu, vous connaissez l'histoire maintenant : 



La putain de fenêtre, la voilà (attention je vais jurer comme un porc sur ce post, je suis tellement vénère...donc les frileux du verbe, passez votre chemin sans déconner. Putain, quoi...)


Alors il faut savoir que c'est à la portée du premier triso de poser une fenêtre. Tu la prends, tu la poses, tu t'en vas...enfin c'est du moins l'option qu'a prise le gazier. Posée à l'arrache comme ça, si tu souffles un peu trop fort, elle s'envole. Vue de dessous, vous pouvez voir les tuiles et le plastique ondulé qui est en fait le dessous de la fenêtre et qui épouse la courbe des tuiles : 


En équilibre sur le lattis à la bien : 


Evidemment j'ai fait péter tout ce merdier en deux-deux (mouhahaha je suis un jobard). Ensuite j'ai bourré de laine de verre (putain de matière de merde, j'ai l'impression de mettre un col roulé sans t-shirt avec une cagoule en papier de verre en plein été quand je manipule cette merde) : 



Enfin, je pose la première plaque. Il est 14.30 (sa mère est une catin), ça fait 4h00 que je me casse le cul sur ce truc : 


Au départ, j'avais commencé à faire des plaques en forme de trapèze pour épouser la pente de la fenêtre et l'écartement progressif de l'ouverture...évidemment, c'est impossible sans un rapporteur d'angles (que je n'avais pas), et une certaine dose de savoir-faire (savoir-faire pour ceux qui se souviennent de partenaire particulier) : 



Du coup, comme j'ai pas fait de trapèze, c'est dégueu et ça jointe pas : 



Pas grave, je mettrai des triangles pour combler le bazar. 

Ensuite, on isole, puisque c'est la raison d'être de toute cette merde : 


Après, on ferme : 



Bonus track : les plaques que j'ai brisées après tant d'énervement à caler tout ce bazar : 



Et ouais, on est des dingos...



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